Exercice d’Union à La Source, pour libérer la blessure du rejet.
Le rejet est une blessure d’âme qui donne l’impression à la personne qui en est porteuse, de ne jamais être à sa place, de se sentir écartée. En principe la personne n’ose pas prendre sa place et créée tout ce qu’il faut pour s’isoler. C’est essentiellement la peur d’être vivante qui agit. En apprenant à aimer son incarnation et en reprenant confiance en soi, l’énergie d’acceptation peut circuler.
Voici un exercice d’union à la Source que vous pouvez faire si vous souffrez de la blessure du rejet :
Installé(e) tranquillement dans un lieu paisible, dans le silence, assis(e), la colonne vertébrale bien droite, les pieds touchant le sol, unissez-vous en pensée à la terre, à votre ego, à votre personnalité et au ciel, à votre âme et à votre Esprit.
Respirez longuement trois fois, en conscience, en sentant le froid entrer dans vos narines et le chaud en sortir. Fermez les yeux, et imaginez une grande étendue d’eau calme. Laissez vos pensées s’apaiser dans cette eau limpide.
Imaginez une lumière qui vient du ciel, de votre Esprit supérieur et entre dans votre tête par la couronne, traverse votre tête, votre cou et vient se loger dans votre thymus, entre le cœur et la gorge, et se mettre à rayonner.
Sentez l’immense amour de la vie vous réchauffer tout le corps et souriez en conscience à cette vibration légère et réconfortante.
Rayonnez ainsi la lumière divine dans tout votre corps, illuminant chaque cellule, jusqu’au cœur de votre ADN et unissant votre corps physique à cette lumière.
Sentez la joie et les bienfaits de cette union cosmique. Imaginez que vous êtes ainsi relié(e) à toute la création, à l’univers et à toute forme de vie. Vous fusionnez dans l’unité. Affirmez alors à haute voix, votre union directe à la Source :
« Je suis uni(e) au TOUT, partie intégrante de La Source exprimée par mon Ego dans tous ses aspects ! »
Issu du livre : Le carnaval des âmes, de Joeliah.
(Vous y trouverez bien d’autres masques à libérer !)
Peinture de l’excellent peintre Mario Duguay.