Si vous parlez des changements à faire pour promouvoir une nouvelle façon de faire et que vous aimeriez être actif pour aider un vrai projet, vous aurez peut-être, comme moi, un vrai coup de coeur  pour aider un éleveur qui veut maintenir une culture traditionnelle, respectueuse des animaux et de l’alimentation.

Maintenir son troupeau de vaches laitières sur l’exploitation pour promouvoir saveurs d’antan et santé, équilibre social et respect de la biodiversité.
La ferme de Beaulieu compte sur le partage de chacun !

Aide et partage de cette réalisation ici et recevez en échange, en plus de la joie d’avoir été actif et généreux, la possibilité de découvrir cette ferme, boire du bon lait cru et plus selon votre choix.

A cliquer ici pour découvrir le beau projet et participer financièrement à partir de 10€

Que la force soit !

Joéliah

Cet Entrepreneur se raconte :

Yves de Fromentel, polyculteur éleveur bio sur la ferme de Beaulieu. Je suis avant tout paysan, comme mes parents et mes grands-parents avant moi.

Il y a quelques années, j’ai quitté mon travail pour m’adonner à cette ferme, pour sauvegarder ce patrimoine, animé par la volonté de bien faire. Parce que je me sens responsable de la qualité de mes produits pour la santé des consommateurs, pour votre santé, je tiens à rester dans cette dynamique du bio : “manger sain”. Pour cela, il est indispensable de garder l’élevage!

Aujourd’hui, la ferme prend un tournant décisif. La transformation à la ferme et vente directe s’accompagne d’une restructuration de l’exploitation entière :

–          Vente de 30% de la surface des terres cultivées

–          Réduction du troupeau de moitié

–          Changement de races : j’aimerais choisir des races rustiques produisant un lait beaucoup plus riche et meilleur pour la santé.

Nous tournons ainsi le dos à la production industrialisée, où par l’endettement nous perdons toute liberté : il faut beaucoup produire pour rembourser ses crédits, et qui dit quantité ne dit que trop rarement qualité!

Cela consiste en fait à revenir à ce que faisait nos parents : une agriculture familiale, à taille humaine, diversifiée ( pas de monocultures mono élevage, mais une polyculture, élevage de quelques cochons, moutons, canards, poules, et vaches), créatrice d’emploi et dont la production était mieux valorisée par la transformation à la ferme!