Beau Printemps !

Le jardin est ensoleillé , les petits écureuils sautent de branches en branches, les oiseaux chantent et le ciel est bleu immaculé.
Le printemps est une renaissance un peu comme un saut quantique que la nature fait chaque année.

Un moment de la vie hivernale, tout est gris, sans vie végétale apparente, les oiseaux ont du mal à trouver la nourriture et se battent pour un pauvre ver qui vient respirer en surface, certains animaux hibernent et d’autres ont leur poils d’hiver protecteur.
Cela ressemble à la troisième dimension dans notre comportement humain où certains hommes sont endormis à la conscience, d’autres souffrent ou se protègent et combattent pour survivre.

Et puis, la chaleur arrive, plus de lumière, plus de force et tout change…
La nature reprend son essor, et commence à faire jaillir la sève printanière qui transforme tout en quelques jours. Tout renait à sa vraie nature et se prépare pour son épanouissement.

C’est ce qu’il va se passer bientôt pour l’humanité.
Le printemps de la conscience est en cours.
Certaines personnes sont déjà éveillées à cette nouvelle conscience de puissance, de force et de jaillissement du meilleur de l’âme.

Certes, il y a encore beaucoup d’engourdis, d’endormis, de frileux et de combattants, de souffrance et de dualité et c’est normal, car l’hiver à duré des milliers d’années, mais le printemps arrive enfin pour l’humanité.

Certes, ceci est une métaphore, car tous les pays du monde ne vivent pas au rythme des 4 saisons aussi marquées qu’en France.

La question du jour est : où en êtes-vous dans votre état d’éveil de conscience ?

Êtes-vous encore dans la difficulté de l’hiver où tout semble figé, froid, enfermé et ou la chaleur de l’amour et la lumière de la conscience ont du mal à circuler, dans cet hiver où il faut beaucoup de courage pour se montrer à nu, tel que l’on est, sans risquer d’attraper une pneumonie ou une congestion ?
Êtes-vous frileux à l’idée d’exprimer réellement qui vous êtes avec la peur de vous faire manger par les prédateurs qui ont besoin de plus que vous et veillent à ce que vous pouvez leur donner ?
Passez-vous votre temps à hiberner en somnolant devant certains programmes destructeurs et abêtissants de la télévision, ou à écouter les sinistres informations bien choisies pour attiser la peur et la dualité ?…

Où alors, est-ce que la puissance du printemps a déjà jailli en vous ?
Est-ce que votre connexion à la lumière intérieure vous a donné des ailes pour survoler ce monde avec simplicité ?
Osez-vous exprimer votre amour et en recevoir avec simplicité, naturellement et vivre en vous épanouissant du meilleur possible ?
Avez-vous la force puisée de la terre, pour exprimer vos talents avec puissance et rayonner vos vertus avec joie ?

Le printemps personnel est un merveilleux coup d’éclat pour l’expression de l’âme et de l’esprit qui nourrit tout ce qui est.

Le printemps de l’humanité commence à se manifester.
Beaucoup d’humains reprennent des forces et osent montrer qu’ils sont bien plus importants que de simples ‘vers’ à picorer et préparent leur métamorphose.
Beaucoup de programmes installés dans l’ADN sont en train d’être libérés et de nouveaux se mettent en action.

Le voile entre le visible et l’invisible est de plus en plus léger et les connexions avec la réalité de notre structure cosmique divine de plus en plus évidentes.

Beaucoup développent des pressentiments de plus en plus vérifiés, ont des visions, des rêves éveillés, des intuitions très fortes, font de la transmission de pensée avec des proches et surtout, comprennent les lois d’intention pure, de résonance vibratoire et d’attraction magnétique pour manifester leurs désirs avec joie et enthousiasme.

Ils comprennent que ce qu’ils pensent et nourrissent à l’intérieur par leurs émotions, nourrit automatiquement ce qui se passe à l’extérieur et qu’il suffit de neutraliser les pensées et d’aimer la vie pour que cet extérieur se transforme réellement.
C’est une base fondamentale pour créer ce saut quantique !
Il n’y a que l’amour et la pureté de la lumière qui peuvent aider à cette transformation.

Tant que l’homme nourrit ses peurs sur ce qu’il voit autour de lui, critique, vit le désespoir ou la souffrance en son coeur, se comporte en victime au lieu de rayonner la paix, l’amour, la sagesse, la liberté et la détermination de vouloir vivre un monde différent, la vibration qu’il émet intérieurement, attire à lui des événements difficiles à combattre.

Par contre, dès qu’il augmente son taux vibratoire par des pensées élevées, un amour indicible pour la vie, la foi qu’il est créateur et donc qu’il peut choisir ses créations en conscience et qu’il manifeste ses voeux avec foi, Tout change ! La vie s’améliore rapidement.

C’est ce printemps personnel qu’il doit vivre en son coeur. Multiplié par de nombreux autres printemps personnels… la chaleur des coeurs ne peut que réveiller l’humanité entière.

Je vous souhaite de faire entrer tellement de lumière et d’amour dans votre conscience que la force qui vous maintient en vie soit décuplée et vous apporte un rayonnement dans tous les aspects de votre vie !

Que le meilleur soit !
Joéliah
Photo réservée au jardin offerte par Florence Petit-Barreau, merci.

Chaque jour est un cadeau de la vie.
Chaque seconde est un cadeau du présent.
Vivre en plénitude, seconde après seconde en participant pleinement à ce que l’on fait, ce que l’on voit, entend ou perçoit permet d’ouvrir sa conscience.
A ce moment nous ne sommes pas des robots exécutant des tâches machinalement, mais des êtres conscients profitant du moment présent.

Vivre le moment présent est un cadeau merveilleux.
Le passé s’oublie à la seconde passée… le futur se vit à chaque seconde à venir et le temps présent est là, simplement, heureux d’être et de se faire remarquer.

En vivant le moment présent, plus de fatigue, plus de stress…
Les heures s’égrainent tranquillement.
Ceci n’empêche pas d’être responsable de sa vie et de ne pas programmer les impératifs de sa vie quotidienne, simplement, cela évite de remplir ses valises de soucis ou de panique.

Un exemple ? Vous servez à un guichet et la file d’attente est longue.
Il est onze heures du matin et vous terminez en principe à midi et demi et vous avez déjà calculé que vous ne pourrez pas voir tout le monde ou terminer à l’heure et déjà , vous vous impatientez ou vous ne servez pas correctement le client par peur de ne pas y arriver.
Vous êtes dans la peur de manquer ou de trop en faire… et cela vous bloque encore plus. Intérieurement votre plexus solaire se ferme ou se mets à bouillir…

Si vous vivez parfaitement chaque moment présent avec chaque personne, si vous créez dans votre esprit que vous avez tout le temps nécessaire pour chacun et que vous remerciez déjà pour tout ce beau travail que vous faites et pour que chacun reçoive ce dont il a droit. Tout se passe tranquillement.
Ainsi, vous êtes concentré sur chaque cas, l’un après l’autre.

L’un a fini… vous passez vite une éponge ‘cosmique mentale’ sur son dossier et vous accueillez le suivant tranquillement.
Ainsi, au lieu de tout porter, vous lâchez au fur et à mesure les problèmes ou les cas des autres, et vous restez connecté à votre être avec toute l’attention nécessaire au nouveau client.

Ce cas peut se produire dans de multiples autres.
En conduisant, bénissez tous ceux que vous rencontrez ou suivez.
S’il y a un bouchon… utilisez le rayon violet pour l’éliminer puis le rayon vert pour la circulation de tous, et si ça ne fonctionne pas, prenez ce temps de tranquillité pour affirmer vos phrases positives, chanter ou vous faire du bien.
Affirmez que vous avez grandement le temps d’arriver à l’heure et que tout est déjà parfait.
Et votre esprit qui est créateur de votre réalité le fera.

C’est la grande différence entre les éveillés créateurs et ceux qui dorment encore dans leur mental limité et pensent que rien ne peut être changé dans leur vie.
Apprenez chaque jour à créer en fonction du meilleur de vos choix et votre vie s’allègera selon ce que vous vous autoriserez…

Et pourquoi vous priver du meilleur ? Vous le valez bien…

Très beau moment
Joéliah
Crédit photo : Copyright (c) 123RF Stock Photos

La sève commence à monter… le temps de repos se termine et la nature, dans notre région, commence à s’éveiller.

Les bourgeons enflent et préparent déjà l’émergence d’un nouveau feuillage. Tout ce qui était caché va bientôt s’exposer à nouveau à la lumière.

Le printemps, pour nous, est synonyme d’extériorisation. Le grand ménage va commencer et nous allons ouvrir grand nos fenêtres pour faire entrer le soleil à la maison.

C’est un moment de radiation, de rayonnement ou tout pétille. Les journées ensoleillées et lumineuses sont de plus en plus longues et la nuit raccourci.

Le 21 mars, est la journée de départ d’un nouveau cycle angélique. Véhuiah, ange d’énergie et de puissance est de régence pendant les 5 prochains jours.

C’est la bonne période pour ressentir son énergie et lancer un nouveau projet.

Vous pouvez aussi choisir cette période pour faire une cure de nettoyage de votre corps et lui donner le plein d’énergie pour vivre ce printemps avec force et amour.

Que le meilleur soit !

Joéliah

Photo Florence Petit-Barreau

 

 

Combien d’énergie est dépensée et déployée pour les plaintes de manque d’argent, les lamentations, les critiques – y compris envers ceux qui en ont – au lieu de la passer à penser abondance…
L’univers agit comme un serviteur et donne de la matière en fonction de ce qui vibre en nous.
Nos peurs ou notre amour fait la différence pour tout.
La santé, les relations, le travail et l’argent.. il n’y a aucune différence pour la lumière de se convertir en matière en fonction du programme demandé.

L’argent n’est que le moyen de réaliser nos rêves, nos projets. Plus nous pensons à leur réalisation comme déjà acquise et plus l’argent se manifeste facilement.
Mais si nous ne pensons qu’au manque alors le manque se réalise… Si nos paroles vibrent sur le manque, les dettes qui s’accumulent, l’impossibilité de réalisation, les dettes… alors tout ceci est amplifié !

L’argent est de l’énergie matérialisée sous forme de pièces ou de billets, voir de chèques ou de cartes bancaires, qui sert à échanger des valeurs.
Le mot valeur a plusieurs connotations :
Cette maison une valeur de…
La valeur de ce billet est de tant…
La valeur n’attend pas le nombre d’années…
L’euro est la valeur monétaire européenne.

L’argent est donc lié à cette notion de valeur. Valeur monétaire et valeur humaine. Les deux sont inséparables.

L’argent en abondance est un cadeau de vie à condition qu’il soit obtenu et utilisé à bon escient !
Ce n’est pas la substance, mais la valeur qu’il a qui élève ou abaisse, rien de plus.
Et pour être véritablement riche et le demeurer, c’est sa propre valeur qu’il est nécessaire tout d’abord de montrer.
Oser s’estimer à sa juste valeur, puis donner le meilleur de soi-même.

La véritable richesse vient de l’échange d’énergie que l’on fait avec ses propres talents.
La source de la richesse est à l’intérieur de soi, pas à l’extérieur.

La richesse est une question de conscience.

Combien de personnes ayant gagné une grosse somme d’argent au loto se retrouvent un an après, encore plus pauvres qu’avant et endettées ?
Et au contraire, combien de riches ayant faits faillites et n’ayant plus un sou en poche, se retrouvent millionnaires dans l’année ?
Savez-vous pourquoi ?
Parce que ces derniers sont générateurs d’idées, de concepts légaux et qu’ils les mettent rapidement en application.
La richesse sort de leur source intérieure.

Ils sont créateurs de leur abondance, alors que les autres attendent la richesse des autres.
La richesse est avant tout un état d’esprit.

Nous avons tous des talents à exploiter et à mettre au service des autres.
C’est là qu’il est nécessaire d’aller puiser la source de sa richesse illimitée et éternelle.
Qu’avez-vous à mettre au service de l’humanité ou de la terre ?
Un don – un talent – une aptitude…
Certains sont artistes, d’autres comptables ou cuisiniers…
Certains sont doués avec les enfants, d’autres avec les animaux ou les ordinateurs…
Certains aiment écouter, conseiller et d’autres courir, enseigner, peindre ou monter des murs droits…
L’humanité a besoin de multiples talents pour s’exprimer au mieux.

Imaginez si Pavarotti, ce magnifique ténor avait suivi simplement l’exemple de son père et resté boulanger toute sa vie… certes, le travail de boulanger est très louable, mais cela aurait été un talent de gâché même s’il fut un excellent boulanger et qu’il aurait pu gagner sa vie honnêtement ainsi.

Il y a des personnes qui ont des talents fous, naturels, et qui ne les utilisent pas tout simplement parce qu’ils sont occupés à faire autre chose de lucratif, ou parce qu’ils n’osent pas mettre ce talent au service. Quelquefois, il y a la peur d’être différent, ou de faire un travail moins reconnu par la société…
Si vous avez un talent particulier, osez l’activer ! Quel qu’il soit !
Les clowns ont le talent de faire rire… et c’est important pour les enfants.

L’Univers et votre esprit peuvent vous donner tout l’argent dont vous avez besoin, mais pour cela, il a besoin de support et de reconnaissance.
L’argent est de l’énergie, c’est de la lumière matérialisée.

Quelques règles sont à respecter pour s’enrichir.

1 – reconnaître l’argent comme une énergie propre et renouvelable.
2 – accepter d’avoir tout l’argent nécessaire à ses besoins et même du surplus.
3 – honorer tous ceux qui ont de l’argent et reconnaître leur valeur à le manifester.
4 – bénir tout ce que l’on possède, même si c’est très peu. La bénédiction apporte toujours du bien et amplifie l’énergie.
5 – affirmer son droit à la grande richesse à haute voix et déclamer cette phrase régulièrement ‘je suis riche, je suis riche, je suis riche !’ avec foi et force.
6 – Mettre tous ses talents en action pour la société, de la meilleure façon possible et à grande échelle. (pas 5mn par jour…)
7 – bénir toutes les factures qui arrivent et savoir que l’énergie d’abondance se charge de les payer en leur temps.
8 – parler le moins possible de manque d”argent et bannir toutes les réflexions de manque.
9 – ne pas acheter toujours au bas prix, en solde, en réduction car on montre alors à l’esprit la notion de petitesse.
10 – penser grand, spacieux, confortable, beau… et savoir qu’on le mérite.
11 – s’imaginer avec un compte bancaire bien rempli et de l’argent plein son portefeuille. Par exemple, si le relevé est à 420.40 euros ou dollars, supprimez la virgule et dites qu’il s’élève à 42040 euros ou dollars… votre esprit acceptera cette idée si vous êtes vraiment en accord avec et il vous fera parvenir la somme de la meilleure façon possible.
12 – donner facilement et librement, sans réfléchir ni calculer, simplement par coup de coeur. Oublier très rapidement ce qui a été donné.
13 – savoir que tout ce qui est donné à l’énergie revient multiplié. ‘plus je donne, plus je reçois’ à condition d’accepter de recevoir bien sur.
14 – lâcher toutes les pensées de restriction du genre ‘je n’ai pas besoin de beaucoup’ ‘juste pour finir la fin du mois’ ‘je ne demande pas grand chose’… et au contraire dire régulièrement ‘j’accepte tout ce que Dieu ou l’univers veut me donner’ ‘je sais que l’argent arrive d’une manière merveilleuse’ ‘j’attire à moi le meilleur, la richesse infinie’ ‘je suis héritier ou héritière de la source d’abondance…’
15 – être le plus honnête possible.
16 – rembourser ce que l’on emprunte le plus rapidement possible. Rendre les prêts amicaux et remercier avec un cadeau supplémentaire.
Les dettes sont un véritable poids karmique.
Le vol est encore pire et relie directement à la troisième dimension. Seule la restitution libère vraiment.
17 – aider les autres à s’enrichir
18 – dépenser moins que ce que l’on gagne… et augmenter régulièrement son travail…
19 -Trouver un moyen d’avoir un revenu résiduel régulier comme des droits d’auteur, un revenu avec du multi-niveaux, des loyers…
20 – Apprendre auprès de ceux qui ont réussi et peuvent servir de modèles ou dans des revues spécialisées.
… il doit y en avoir encore bien d’autres.

Je vous souhaite de trouver votre propre source d’abondance et de la manifester pour votre bien et celle de l’humanité.
Joéliah

L’action dans la joie est une puissante vibration ! Ralph S. Marston Jr dit le motivateur : La vie t’apportera la richesse lorsque tu la laisseras faire. Elle t’apportera la richesse lorsque tu la vivras.
Si tout ce que tu fais c’est souhaiter, tout ce que tu obtiendras ce seront des souhaits.
Rêve, et dès que tu le fais, mets ce rêve en action.

En ce moment, ici même, se trouve tout le nécessaire pour entreprendre la réalisation de n’importe quel but.

Le plus important, c’est ton intention véritable d’y arriver.

Ressens les désirs qui sont vraiment à toi.

Vis l’intensité sans mélange de ton but véritable, et aucun défi n’est trop grand à relever.

Il n’est pas nécessaire d’attendre la richesse de la vie.
Elle t’appartient dès l’instant où tu lui permets de dynamiser tes actions.
Accueille ce jour comme si tu étais vraiment la plus riche des personnes vivantes.
Car lorsque tu le fais, tu l’es.

Ralph S. Marston Jr
Traduction AD
Page d’origine : http://greatday.com/

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Attirer et créer avec joie.

Tout ce qui est possible d’être imaginé et ressenti avec force, est lancé comme un ordre à l’univers, qui conçoit cette demande et l’offre avec simplicité à celui qui a formulé la demande.

La source de tout ce qui est, le champ de toutes les possibilités, donne à chacun selon les possibilités qui lui sont données.

Celui qui fait confiance à l’univers et sait ce qui est bon pour lui, comme un enfant fait confiance à ses parents pour avoir ce qui lui convient le mieux, ou comme l’oiseau qui trouve à manger naturellement chaque jour, le reçoit naturellement, au moment le plus juste.

Il suffit de savoir : Qu’est-ce que je désire ? Qu’est-ce qui me fait tellement vibrer que l’univers est ravi de me le donner ?

Parfois une seule idée émise avec enthousiasme suffit…

Un petit exemple simple mais parlant, sur la force de la pensée ‘amoureuse’ : Il y a un an, alors que j’étais chez une copine, elle utilisa un ‘épluche pomme automatique’ qui, en moins d’une minute éplucha la pomme et la coupa en rondelle de même épaisseur… en trois minutes les pommes étaient prêtes pour la tarte.
Je trouvai cela génial et me dit que j’aimerai bien avoir ça chez moi, je me voyais bien en train d’éplucher des pommes de cette façon-là.
Je parti quelques heures après et oubliai bien vite l’éplucheur magique.

Lâcher prise… et surprise…

Et ce Noël, cadeau magique de ma belle fille… cet éplucheur étonnant ! Alors que je n’en ai jamais parlé, ni même exprimé le désir depuis.
Cela veut dire que l’émission de la première joie d’avoir cet instrument, était assez forte pour que la Source l’offre au moment opportun.

C’est vrai que ça peut sembler ridicule, mais ça marche aussi bien pour vivre une belle histoire d’amour avec l’homme ou la femme de votre vie, pour développer des talents, trouver la maison de vos rêves ou faire de magnifiques voyages.

Il en est de même pour toute envie émise avec tellement de joie qu’elle créé une empreinte dans le champ de conception, et que la matrice universelle en créé sa réalisation plus ou moins rapidement.

Cependant, portez votre attention sur le fait qu’une peur est aussi créatrice que la joie.
L’empreinte est créée aussi, même si le résultat fait moins plaisir.

Alors sachez bien ce que vous voulez et émettez tellement de plaisir à le voir déjà arrivé, qu’il sera attiré vers vous de la meilleure façon possible. C’est la magie de la foi.

Que le bonheur soit !

Joéliah/https://www.quelemeilleursoit.com

La peau et le contact direct sont aussi de grands facteurs de santé et le manque de toucher peut-être aussi facteur de maladies dégénératives.
Il est reconnu que dans certains orphelinat de l’Est, des enfants qui ne reçoivent pas de caresses, ne sont pas mis en contact avec d’autres personnes et laissés seuls à eux-mêmes, développent des pathologies d’autisme et de nervosité et sont retardés dans leur développement physique et mental.

L’importance du toucher va bien au-delà du simple contact machinal.
Les informations qui s’échangent de manière vibratoire sont très importantes. Par le toucher, on peut faire passer de l’amour bien sur, mais aussi rassurer, soutenir, prévenir, calmer, apaiser la tension, développer la confiance, stimuler le système immunitaire, frotter un bobo ou faire circuler le sang et la lymphe, calmer une douleur par imposition des mains, couper une brûlure ou favoriser un relâchement musculaire.
La main posée sur une épaule rassure et réconforte. Une main posée sur la main d’un malade peut le calmer et lui donner de l’espoir.

Le geste de se toucher permet de ressentir l’autre personne.
Observez comment les personnes se disent bonjour en se serrant la main ou s’embrassant et ce qui passe lors de ces échanges.
Parfois un geste amical d’un tapotement sur le bras est ajouté.
Observez comment vous dites bonjour… est-ce machinal ou vraiment sincère ?

Vous sentez-vous libre de toucher, de caresser, de faire passer vos émotions par le geste ou sentez-vous des restrictions, peurs, blocages liés à votre éducation …?

C’est tout naturel, les amoureux aiment se toucher, se tenir la main, se caresser et ceci procure un sentiment de paix, de connaissance de l’autre et de sentiment de partage unique.
La tendresse si souvent oubliée dans notre société moderne est essentielle à une bonne harmonie et à l’entretien de l’amour.

Une main qui caresse le visage de l’aimé(e), deux mains tenues lors de promenade, des échanges de baisers, la main posée sur l’autre… tout ceci aide à entretenir une bonne relation.

On constate trop souvent la séparation physique de plus en plus importante dans les couples, qui détériore grandement la relation humaine. Petit à petit, les personnes oublient des gestes simples qui étaient si naturels au début de la relation. Le baiser du soir ou du matin, celui juste avant de se quitter et celui qui redit le bonheur de se retrouver… et ce à tout âge.
La tendresse est la crème de l’amour, l’anti-douleur, l’anti-séparation, le baume du temps qui passe…

Parfois, c’est un chat ou un chien qui remplace l’être aimé, parce qu’on ose plus toucher l’humain.
Mais quand il n’y a même pas ce contact ?

Si une personne ne se touche pas et ne se permet pas d’être touchée, son corps est en manque d’amour et ce manque peut se manifester de n’importe qu’elle manière afin d’être touché… ce peut être une blessure qui demande des soins constants, une brûlure, une fracture…
ou un cancer de la peau.
Les enfants et les personnes âgées en ont le plus besoin, mais tous les humains en ont besoin !

La tendresse passe aussi par le verbe créateur, et celui qui n’a que des mots d’injures, de critiques ou de plaintes peut aussi se créer des maladies des organes de la paroles. Car l’énergie négative a besoin d’être stoppée à un moment donnée.
Parlez avec douceur, dites-vous des mots doux, dites-en aux autres. Réapprenez à faire des compliments, des félicitations, des encouragements, des remerciements… et joignez le geste à la parole.
Soyez sincères.

Des encouragements peuvent sauver une vie, peuvent permettre de tenir dans des cas difficiles.

La relation du toucher associée au verbe d’amour est trop souvent oubliée dans notre société. Heureusement de plus en plus de jeune maman en prennent conscience dans l’éducation des enfants, avec le portage direct ou des massages de bien-être.

Si vous voulez vous faire vraiment du bien, plutôt que de prendre des comprimés pour dormir, pour vous calmer, vous déstresser ou remonter votre moral, offrez-vous un massage, un modelage, un sauna…
Offrez-en à ceux que vous aimez.
Touchez (doucement) ceux qui vivent autour de vous. Posez vos mains sur leurs épaules pour commencer… ne soyez pas pudique au point de vous rendre malade de ce vide sensoriel !

Les relations par Internet sont sympas… mais rien ne vaut de vraies rencontres ! Aussi appelez ceux que vous connaissez, dites-leur des gentillesses, combien vous aimez leur contact… le son de la voix, c’est déjà un toucher plus direct.
Idem lors d’enseignements. Tout ce qui se lit, c’est bien. Entendre c’est mieux, voir en même temps ajoute un niveau supplémentaire, mais rencontrer ‘en vrai’ c’est mille fois plus fort !

C’est ce qui fait qu’un enseignement peut être assimilé réellement ou simplement survolé.

N’oubliez jamais : le toucher, c’est l’amour de l’esprit qui passe dans la matière.
Joéliah
Lejardindejoeliah.com

Nous sommes tous interconnectés les uns aux autres par des ondes vibratoires spéciales qui contiennent des milliards d’informations.
Nous fonctionnons comme des ordinateurs et selon les programmes que nous acceptons de mettre en action, les émissions sont plus ou moins appréciées et intéressantes.

Ces champs d’informations sont à la portée de tous.
Mais tout comme le fait que vous ne pouvez pas capter “France Inter”, si vous êtes sur la fréquence de “Sud-Radio”, vous ne pouvez non plus capter la fréquence “patience” si vous êtes sur la fréquence “irritation”…

Si vous désirez vivre en paix, vous ne pouvez restez branché sur la fréquence guerre, ou celle de la colère, d’ l’injustice, ou de ‘c’est la faute aux autres’…

C’est donc en changeant de fréquence que tout peut changer dans sa vie.

Bien entendu, il est d’abord important d’observer les programmes captés habituellement et pour cela, tenir un cahier de ce qui arrive peut aider à défricher les animateurs intérieurs…

Si vous êtes sur radio ‘sourire’, ou radio ‘fait du boudin’, radio ‘écoute et attention’ ou radio ‘y a que moi qui compte’, radio ‘svp faites tout pour moi’ ou radio ‘sauveur du monde’… tout change !

Alors parfois, il est bon d’aller licencier les animateurs qui ne sont pas à la hauteur des aspirations d’une chaîne et d’en inviter d’autres pour que tout se bonifie !

Pour licencier une émission… l’intention de l’effacer intentionnellement avec fermeté suffit pour les personnes fortes. Pour les autres, peut-être se faire aider d’un souffle violet et l’imagination d’une gomme qui efface, ou d’un apport de lumière blanche et or.
Et surtout veiller à changer de fréquence en modifiant ses pensées, ses émotions, ses actions, ses habitudes…

A vous de donner le nom à votre radio…

Comment êtes-vous qualifié d’habitude ? Sympa, grognon, placide, effacé, courageux… tout cela sont vos programmes habituels.
A vous de choisir celui que vous aimeriez diffuser autour de vous.

A ce moment présent, je choisis pour ma part, radio bonheur !

Que le meilleur soit !
Joéliah
Image copyright (c) 123RF Stock Photos

L’accumulation de nos pensées quotidienne depuis notre naissance fait ce que nous sommes aujourd’hui.
Chaque émotion imprime une réalité dans notre corps.
Chaque croyance en imprime une autre.
Et c’est cela qui nous permet d’expérimenter notre corps en totalité.

Mais en sachant cela, il est possible aussi de comprendre la différence que peut avoir une pensée de joie ou une pensée de peine dans le corps, une pensée de santé ou de maladie, de chance ou de malchance, de réussite ou d’échec…

La grande différence entre les personnes qui restent longtemps en bonne santé et celles qui sont souvent malades vient bien souvent de leur moral et de leur façon de juger le monde.

Un plaignant permanent, active en lui des schémas de perte, d’échec et de maladie, alors qu’un optimiste qui ne s’écoute pas et continue de vivre en pensant que tout va aller mieux, va aller effectivement mieux !

Nous pouvons donc apprendre à positiver nos pensées pour aller mieux volontairement.

En affirmant avec enthousiasme et foi sur le changement possible, chaque jour des phrases comme ‘ma santé s’améliore de jour en jour, je me réjouis d’avoir tout ce dont j’ai besoin à tout moment, je prends plaisir à réussir tout ce que j’entreprends, je m’entend de mieux en mieux avec ma famille etc…’

Et en gardant ces idées bien actives à tout moment et de manière assez prononcée, nous imprimons alors une nouvelle réalité dans nos cellules qui se mettent à se réorganiser en conséquence.

C’est la nouvelle attitude qui change tout !
Alors osons être ce que nous rêvons d’être et arrêtons de subir notre propre châtiment !
Nous sommes notre propre bourreau et nous pouvons devenir notre propre libérateur !
Chacun est l’Être le plus important pour réussir sa propre vie !

Beau changement.
Joéliah

Lorsque j’avais une dizaine d’année et que j’allais en vacances à la campagne à Chassigny en France, j’étais fascinée par le travail d’un cheval au labour. Je regardais le laboureur lui donner des ordres et je rêvais de pouvoir conduire cet attelage.
Un jour, à force de me voir sur le côté du champ, cet homme m’invita à venir faire un essai et ma joie était à son comble. Il m’indiqua comment tenir les rênes et toute heureuse je lançais mon premier “Hue”.
Le cheval avança tranquillement et je voyais son énorme arrière train travailler… au bout du champ, il fallait tourner à droite, alors je criai ‘dia’ en tirant sur la rêne de droite.

Comme nous n’étions pas tout à fait au bout, le laboureur qui était devant rectifia aussitôt en criant un ‘hue’ pour qu’il continue d’avancer droit et moi qui ne voyait pas tout, je continuais à crier ‘dia’ pour qu’il tourne… le cheval hésita en écoutant les deux ordres et commença à remuer sa queue de manière agitée.
Le laboureur l’apaisa et m’expliqua qu’il ne pouvait pas répondre à deux ordres contradictoires.
Le cheval se soulagea alors d’un gros crottin…
Il le fit tourner au bon moment, et je fis le rang de retour, jusqu’au “hooo là” final en discutant avec cet homme, que les gens qualifiait de rustre.
Je lui disais que j’aimerai beaucoup être vétérinaire pour guérir les animaux et que je détestais voir un animal malade ou souffrir.

Il me dit en gros : “si tu veux être docteur pour animaux et que tu as peur du sang ou de les voir souffrant, tu seras malheureuse toute ta vie car c’est justement ça qu’il voit tous les jours et tu risques de te trouver souvent ‘dans la merde’.
Il vaut mieux t’occuper bien de ton chien et tu seras plus heureuse.
La vie est comme ce champ que tu vas labourer régulièrement pour récolter ce que tu choisis, alors pense à ce cheval et aux ordres à lui donner. Tu ne sèmes pas tout à la même époque et le temps de récolte n’est pas toujours le même’.

Cette leçon du laboureur m’a beaucoup servi dans la vie lorsque je voulais prendre des décisions importantes.
Je me posais souvent la question : est-ce que ma tête et mon coeur sont en accord ? Est-ce que je ne tire pas à ‘hue et à dia’ en même temps et est-ce que mon cheval intérieur peut répondre aux ordres ?

C’est pour ça que j’ai changé d’emploi plusieurs fois. Pour gagner mon salaire je devais continuer à crier ‘hue’ en suivant strictement la ligne fixée mais pour ma conscience il fallait absolument crier ‘dia’ et changer de sens ou de voie.
Faire le ‘holà’ était bienvenue alors.. pour prendre un temps de repos et réajuster la ligne de mire pour un but plus élevé et en accord avec les choix de ma conscience.
C’est comme ça que j’ai quitté une société qui vendait des produits qui polluaient la terre, alors que je prônais sa protection.
Ce nouveau champ dans ma conscience n’avait jamais été labouré… et j’ai mis des années à retrouver une bonne récolte mais c’était toujours écrit ‘hue’ sur mon objectif.

Et vous ?
Observez-vous votre façon de labourer le champ de toutes les possibilités.
Est-ce que vous êtes bien en accord avec vos idées ?
Est-ce que vous suivez bien le rang choisi, ou est-ce que vous labourez de travers ?
Donnez-vous des ordres contradictoires à votre “cheval” ou moteur intérieur ?
Est-ce vos buts sont dans la même lignée et que vous labourez pas à pas, ou dans deux champs complètement différents ?

Tout comme il est impossible de labourer deux champs à la fois avec la même charrue, il est impossible de viser deux buts opposés ou avec des idées opposées.

Si vous tirez à hue et à dia en même temps, sûr que votre circuit neuronal risque de ‘péter un plomb’…

Prenez un temps de pause, faite ‘holà’ dans votre vie, pour pouvoir lui faire une belle ‘ola’ avec ceux qui vous entourent.
Que le meilleur soit !
Joéliah©

Photo champ :  Copyright (c) Florence Petit-Barreau , deux autres : Copyright (c) 123RF Stock Photos

 

Attention ! Prends des précautions. As-tu une bonne assurance ? As-tu mis ton casque ? Si ça ne vas pas, n’hésites pas à porter plainte… As-tu une bonne alarme ? As-tu bien fermé le verrou et as-tu une caméra de surveillance ?… Combien de questions de ce genre sont-elles posées par jour dans la civilisation dite moderne ?

Notre monde est devenu très peureux. La justice, les médias et assurances y sont pour beaucoup.
A force de montrer tout ce qui va mal, l’homme a affaibli ses défenses naturelles.
Les peurs de la blessure, de l’agression, de la maladie ou de la mort ont pris des proportions gigantesques.
Et combien de personnes vont aux urgences au moindre bobo… sans se rendre compte qu’ils prennent la place de personnes ayant réellement besoin de ces soins urgents. Combien ne sortent pas dehors parce qu’il bruine un peu ou attrapent froid au moindre petit courant d’air.
D’ailleurs, dans les hôpitaux modernes, il n’y a plus de fenêtres à ouvrir pour faire entrer les rayons du soleil… et les maladies pullulent dans l’air recyclé.
Il y a ainsi énormément d’aberrations partout.

En oubliant qui nous sommes réellement et l’immense force qui est en nous, nous avons donné trop souvent, notre pouvoir aux autres.
Pouvoir de nous assurer, de nous guérir, de nous surveiller, de nous assister…

En moins de 50 ans, la déresponsabilisation humaine est devenue gigantesque.
‘Ce n’est pas de ma faute… c’est le système’ !
Qu’est-ce que ça fait du bien de reporter notre responsabilité sur les autres… ainsi, c’est aux autres de changer et nous pouvons rester tranquillement à ne rien faire et à critiquer ce qui nous déplait.

Heureusement, de plus en plus de personnes prennent conscience du virage à 180° à faire pour revenir aux vraies valeurs et à l’expression de notre force divine !
Joéliah

Voici quelques exemples, reçus dans un mail, de ce que les personnes nées dans les années 45/65 :

Premièrement, nous avons survécu à l’accouchement par des mères qui fumaient et/ou buvaient pendant qu’elles étaient enceintes.

Elles prenaient des aspirines, mangeaient de la vinaigrette, des desserts et n’étaient pas testées pour le diabète ou le cholestérol.

Après ce traumatisme, on s’endormait n’importe où, ou on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse dans des chambres peintes au plomb.

Nous n’avions pas de serrures aux portes.

Lorsque l’on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, mais pas de casques de protection.
Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans chauffage, sans ceintures ni sièges pour bébés, ni air-bag.

Être dans la benne arrière d’une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d’extraordinaire.
Nous buvions l’eau directement de la fontaine et depuis les Romains dans les maisons les tuyaux étaient en plomb.
Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassi, du vrai beurre, du saindoux du lard.
Nous buvions du chocolat avec du vrai sucre. Et nous n’étions pas obèses POURQUOI ?
Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors…

Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d’être revenus quand les lampadaires s’allumaient.

Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avons appris à gérer les problèmes.
Nous n’avions pas de Playstation, Nintendo, X-box, iPod. Il n’y avait pas de jeux vidéos, pas 150 canaux au câble,pas de films vidéos ou DVDs, pas de son stéréo ou de CDs, pas de portable, pas d’ordinateur et pas d’Internet.
NOUS AVIONS DES AMIS et nous sortions dehors pour les retrouver !

Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, se cassait des os, des dents et il n’y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.

On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire,faisions des jeux avec des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et flèches, des fléchettes, nous faisions et jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissades sur les inondations des prairies gelées en hiver, nous allions à l’école en culottes courtes par tous les temps, nous sautions et plongions des souches d’arbres des rivières non fréquentées,nous bricolions avec toutes sortes d’outils réputés dangereux des ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des P4 à l’unité, nous sucions toute la journée des batons de coco, aux heures les plus chaudes les lessiveuses étaient nos plus belles piscines.

Nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou balatum d’asphalte en guise de luge. Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traineaux en bois fabriqués le jour même avec de vieilles planchettes et des cerclages métalliques d’emballages sous les patins occupaient notre temps et gelaient nos mains violettes sans gants et même si on nous disait que tout pouvait arriver, nous sommes pour la plus part toujours là.

Nous roulions sur nos vélos sans frein et sans éclairage nous marchions jusqu’à la maison d’un copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte, nous entrions simplement, nous étions très bien accueillis.

L’idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était impensable, ils étaient AVEC la loi. L’idée que nos parents puissent être contre l’avis de l’instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du Maire, du curé, qu’ils puissent en venir aux mains ou aux insultes étaient inimaginable.

Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, chefs d’entreprises, souvent autodidactes au bon sens débordant.

Ces 50 années ont été une explosion d’innovations et nouvelles idées.
Nous avions la liberté et la peur de l’échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela.

Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez…
FÉLICITATIONS!

Peut-être que vous voulez partager ceci avec d’autres qui ont eu la chance de grandir, avant que les avocats ne viennent tout règlementer, avant que les ” médias ” ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs scoops dramatiques, sans certitudes… juste pour le fun et le fric.
Comme la vie était belle, limpide, parfois rude mais combien nous étions heureux !

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Photo Ger Spendel  – Merci.