L’ère du verseau peut être considérée comme l’ère du rayon blanc activé.
Celui de la transparence, de la communication aisée et vous allez la vivre, c’est pourquoi il est très important d’activer ce rayon plus particulièrement.
Certes vous avez besoin des autres, oui et d’autres qui viendront par la suite mais ce rayon doit être plus particulièrement travaillé à l’heure actuelle, non plus à l’extérieur en tant que vêtement mais à l’intérieur.
C’est en vous que vous devez devenir blanc intérieurement, dans vos cellules, dans vos pensées, dans vos émotions, cela n’a rien à voir avec votre couleur de peau, cela à avoir avec votre rayonnement de corps de lumière.
Plus vous serrez juste, droit, honnête, propre et plus ce blanc rayonnera en vous et à l’extérieur de vous.
Il est donc indispensable que vous fassiez une analyse de ce qui doit être jeté, sorti de vous.
Observez vous au quotidien, en quoi n’êtes vous pas juste, en quoi n’êtes vous pas équilibré, en quoi n’avez-vous pas l’harmonie qui vous permettra d’avancer plus rapidement sur votre chemin de lumière.
Analysez et transformez.
Osez changer ce qui n’est pas correct dans votre vie, qui peut sembler correct aux yeux des autres oui, aux yeux de la société, aux yeux des traditions, de l’habitude mais qui n’est pas juste, qui n’est pas correct vis-à-vis de vous.
Il est donc important de modifier nous vous l’avons déjà dit vos façons de penser et d’agir.
Soyez justes, honnêtes et clairs en tout.
(Extrait d’un message reçu de maitre Sérapis Bey, pour un groupe, par Joéliah)
Pour activer :
“En fusionnant à la pureté du Rayon blanc
je suis de plus en plus honnête dans mes pensées et actions,
pur-e dans mes émotions et et joyeux-se dans ma vie.
Je libère facilement les mensonges et tricheries,
les magouilles et toute perfidie.
et je rectifie systématiquement dès que je prends conscience
d’une déviance.
Je m’aligne à la droiture de mon être spirituel.
Ainsi cela soit !”
***
Vous pouvez le répéter jusqu’à l’intégrer et ressentir la joie de votre âme, d’être simple, pure et droite.
Pour vous purifier, il est important d’être conscient de ce que vous faites, dites et pensez.
Vous pouvez rectifier alors plus facilement, également annuler une phrase que vous repérez négative en disant aussitôt : ‘ j’annule et je reformule’
Belle purification.
Joéliah

Salutations à vous, maîtres et disciples de vous-mêmes.

Je suis venu pour vous accompagner à libérer des champs de conscience qui sont en vous.

Vous n’êtes pas ici pour souffrir. Vous n’êtes pas ici pour vous empêcher de vivre et au contraire, pour vivre avec joie, avec rayonnement.

Alors, autorisez-vous, maintenant, à disposer de tout ce qui vous fait plaisir.

Vous vivez dans un manque régulier d’énergie de confiance, d’énergie de réussite, de valorisation de vous et de liberté d’être.

Vous jouez des rôles, les uns avec les autres et vous êtes souffrants, vous êtes passifs dans ce qui vous arrive.

Les guides viennent facilement donner des enseignements oraux et pourtant, malgré tout ce que vous savez, malgré tout ce que vous entendez, malgré tout ce que vous lisez, vous n’évoluez pas assez.

La nature elle-même, vient vous donner ses propres enseignements.

Que faut-il faire pour vous libérer ? On ne peut pas vous prendre et vous secouer.

C’est à vous de vous secouer.

Pourtant vous êtes passifs, comme échaudés, comme si petit à petit, vous vous êtes laissé engluer dans des souffrances, dans des marasmes, dans une quiétude nonchalante et vous ne savez pas comment vous en sortir.

Vous savez qu’il y a plus beau ailleurs mais vous ne vous sentez pas assez valorisé pour avoir ce droit.

Et pourtant, il est si facile de le faire avec la foi et l’amour qui est en vous.

Vous avez en vous des ressorts nécessaires, pour transformer votre vie.

Voici une parabole :

Imaginez un lac, un étang avec des grenouilles dans cet étang. Et les grenouilles vivent heureuses.

Un jour, une petite grenouille, saute, saute au loin, s’amuse et tombe dans un puits.

Et elle est dans son puits, petite étendue d’eau.

Elle a ce qu’il faut toujours pour pouvoir vivre, elle a de quoi sortir la tête hors de l’eau, se tenir un peu hors de l’eau.

Il y a de quoi manger dans ce puits mais elle sait, intérieurement, qu’il y a quelque chose de plus grand, qu’il y a quelque chose de plus beau et de plus fort, ailleurs.

Et cette petite grenouille, attends, regarde le ciel et ce ciel est très restreint dans ce puits.

Mais une voix intérieure lui dit qu’il y a autre chose.

Comment peut-il être possible de sortir de ce puits profond ?

Il y a plusieurs solutions.

Soit elle va se contenter de sa vie limitée, dans ce puits.

Soit elle peut essayer de sauter mais la distance est tellement longue, qu’à chaque saut, elle s’épuise.

Ou soit, elle peut aller à l’intérieur d’elle et demander à la reine des grenouilles,  à la puissance qui l’habite intérieurement, de lui donner toute l’énergie qu’il faut, pour pouvoir accéder à cette mémoire de grandeur qui est en elle.

Si sa foi est assez grande, ce qu’il peut arriver, est qu’un orage éclate, un orage violent, comme vous en connaissez parfois.

Puis l’orage entraîne de la pluie, de la pluie, de la pluie.

Ce qui peut paraître un désastre, est en réalité un cadeau.

Car, l’eau du puits monte, et monte et monte.

Et grâce à cette pluie, à ces inondations, la petite grenouille peut sortir.

Sortir de son puits et retrouver la grandeur de ce qui l’entoure.

Et même le lac déborde, et c’est une étendue beaucoup plus importante que cette grenouille découvre.

Et elle découvre des membres de sa famille et elle peut découvrir le prince charmant.

Et à ce moment là, la vie est différente.

Tout cela pour vous dire que, parfois, vous êtes vous-mêmes dans un puits et que vous ne savez pas comment faire pour en sortir .

Vous savez qu’à l’intérieur de vous, il y a un appel beaucoup plus grand parce que votre mémoire sait, parce que votre âme sait que vous venez d’un endroit beaucoup plus important.

Alors, soit vous pouvez vous contenter de votre petite vie et tourner en rond.

Vous avez certes, de quoi manger, de quoi dormir, de quoi vivre.

Mais si l’appel de l’intérieur, l’appel de la lumière, l’appel de l’amour, est plus important alors, vous pouvez demander de l’aide.

Vous pouvez demander aux forces de la nature, aux forces de la vie de vous apporter cette aide.
Et là, il vous faut faire confiance.
Parfois, vous pensez que l’aide peut être très belle, très lumineuse, mais cette aide arrive de façon catastrophique.
Une souffrance, un deuil, un suicide, une séparation, un divorce, un accident, une trahison.
Voilà comment cet orage peut arriver dans votre vie.

Et cet orage arrive pour apporter avec lui la solution qui vous permet de passer à un niveau supérieur et là, vous pouvez trouver la grandeur, la splendeur.

Alors ne bannissez pas les orages, ne bannissez pas les difficultés.

Simplement, acceptez qu’il puisse y avoir, dans votre vie, des aides miraculeuses qui ne sont pas toujours faciles.

Bien sûr, si vous êtes en paix, et si vous avez foi et si vous demandez une aide plus simple, rien n’empêche qu’une branche, par exemple, soit amenée dans ce puits et permette à la grenouille de sortir toute seule.

Si vous avez la foi qu’il peut y avoir des aides beaucoup plus simples, et beaucoup plus douces que d’autres, demandez à ce que l’on vous mette une échelle, tout simplement pour sortir de l’endroit où vous êtes, de la situation dans laquelle vous êtes.

Voilà comment vous pouvez, tout simplement, par vous-mêmes, demander l’aide de la force qui est à l’intérieur de vous et recevoir des solutions extraordinaires.

Vous avez nombre de possibilités qui vous ont été données, maintenant, pour vous libérer.

Le choix de sortir de votre marasme, de votre impasse, de la situation dans laquelle vous êtes et qui vous fait souffrir, vous appartient.

Nul autre que vous, ne peux la changer.

Si vous préférez continuer de vous satisfaire, vous pouvez.

Demandez, créez, soyez certains qu’il y a une solution miraculeuse qui s’offre à vous et patientez.

Cependant, ne créez pas votre noyade vous-mêmes,  ne rajoutez pas des souffrances à ce que vous avez accepté de porter.
Avec tout ce que vous savez maintenant, vous avez la possibilité de sortir de ce puits plus facilement.

Soyez certains qu’il existe des aides qui sont là.
Nous sommes là, nous de la fraternité, sommes là, pour vous aider.

En vous réside une force extraordinaire, lumineuse, pleine d’amour qui peut vous donner toutes les solutions pour vous libérer de cette situation difficile.

Aussi pour vous élever car, le but, une fois sorti de ce puits, c’est d’être dans votre splendeur, dans votre grandeur et de pouvoir rayonner, de pouvoir rencontrer d’autres personnes et de pouvoir leur dire oui, il existe des puits, il existe des endroits limités mais tout ceci n’est qu’un moment, un passage pour comprendre que, en réalité, le monde spirituel est beaucoup plus grand, beaucoup plus lumineux et intéressant que ce que vous connaissez.

Je vais maintenant vous laisser, et vous envoyer toute la puissance de la flamme violette, du rayon violet, qui vous accompagne et qui va vous permettre, dans les jours et les semaines à venir, de vous transformer complètement, tel que vous l’aurez accepté, tel que vous l’aurez choisi.

Une partie de cette énergie d’amour sera avec vous, et vous permettra de faire ce que vous désirez faire comme libération.

Que la paix et la joie de la liberté soient maintenant révélées en vous.

Énergie de Maître Saint Germain syntonisée par Joéliah

Image par Jill Wellington de Pixabay

Puisque l’amour des couples est à l’honneur, profitons-en pour célébrer notre couple intérieur.
 
Le féminin sacré accueillant, refuge, créatif, qui apprécie la beauté, qui sait faire plein de choses à la fois, qui est la partie Yin,
et le masculin sacré qui agit, protège, il est sensible, pratique, structure, répare et sauve.
 
Comme dans le tao équilibre, l’un ne peut vivre sans l’autre.
Honorons en cette fête de l’amour, le feu sacré de notre couple intérieur.
 
Et bonne Saint-Valentin aux couples manifestés dans la matière.
 
Joéliah
 
Photo jillwellington
Adalbert, le vieil ermite du village était un homme très pieux. Tous les jours, à son réveil matinal, il faisait sa prière et allait assister à la première messe du matin.
Avec ferveur il priait : « Seigneur, je viens te rendre visite chez toi, sans que j’aie manqué un seul jour. Matin et soir, je fais mes prières. Ne peux-tu pas venir chez-moi ? »
 
Attentif à cette prière quotidienne, Dieu lui répondit enfin :
« Demain je viendrai ! »
 
Quelle joie pour Adalbert !
Il se met à laver à grande eau toute la maison.
Il accroche des ballons multicolores à la porte et dépose des fleurs aux fenêtres.
Sur les tables se trouvent des plateaux de fruits et des petits gâteaux sucrés.
Tout est prêt pour recevoir Dieu.
Adalbert se tient debout pour l’accueillir.
 
Assez tôt, un petit garçon passe par là et aperçoit par la fenêtre ouverte les plateaux sur la table.
Il s’approche : « Grand-père, tu as beaucoup de beaux fruits ; veux-tu m’en donner un ? »
 
Furieux de l’audace du gamin, Adalbert réplique : « File, sale moucheron !
Comment oses-tu demander ce qui est préparé pour Dieu? »
Et le petit garçon, effrayé, s’enfuit.
 
Peu de temps après, un mendiant arrive et lui demande l’aumône. Adalbert le chasse aussitôt. Puis il lave soigneusement la place souillée par les pieds du mendiant.
 
Et le temps passe … Dieu n’est toujours pas au rendez-vous.
 
La cloche de l’angélus sonne. Adalbert pense :
« Dieu viendra bientôt, attendons-le ».
 
Le soir vient.
Adalbert tout triste attend encore la visite promise.
Un pèlerin se présente au coucher du soleil : « Permets-moi de me reposer sur le banc et d’y dormir cette nuit ».
« Jamais de la vie ! C’est le siège réservé à Dieu ! »
 
La nuit est tombée.
Dieu n’a pas tenu sa promesse, pense Adalbert.
Quel chagrin !
 
Le lendemain, à sa prière du matin, le dévot fond en larmes :
« Seigneur, tu n’es pas venu chez moi comme tu me l’avais promis ! Pourquoi ? »
 
Une voix lui dit alors :
« Je suis venu trois fois, et trois fois tu m’as chassé … »
 
(Inspiré d’un conte indien ).
 
********
C’est à partir de cette histoire que j’ai aidé une amie à accepter puis aimer les chiens !
 
Alors qu’elle en chassait un qui passait devant chez elle, je lui ai simplement dit :
‘Et si c’était Dieu-la Source, qui venait à toi sous cette forme pour déclencher ton amour ?’
 
Cette réflexion a modifié complètement sa vision des chiens et à partir de ce jour-là, elle en a accueilli chez elle.
 
Vous pouvez remplacer le mot Dieu, par l’énergie universelle, la force quantique, la source, le Tout ou la Vie, c’est la même essence.
 
L’amour est la plus haute qualité du divin.
 
Que le meilleur soit !
Joéliah
 
Image par Couleur de Pixabay
‘ Une révolution intérieure est en cours et certaines personnes sont appelées à rayonner une plus grande lumière.
C’est une révolution silencieuse, de l’intérieur vers l’extérieur, du bas vers le haut.
Il s’agit d’une opération clandestine mondiale, d’une conspiration spirituelle.
Nous avons des cellules dormantes dans chaque nation de la planète.
Vous n’allez pas nous voir à la télé, vous ne lirez rien à notre sujet dans les journaux, vous n’allez pas entendre parler de nous à la radio.
Nous ne cherchons nullement la gloire.
Nous ne portons aucun uniforme.
Nous sommes de toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs et de tous les styles imaginables.
La plupart d’entre nous travaillons dans l’anonymat.
Nous œuvrons discrètement derrière la scène, dans chaque pays et culture du monde, dans les villes, grandes et petites, dans les montagnes et les vallées, les fermes et les villages, les tribus et les îles lointaines.
Vous pourriez nous croiser dans la rue sans même nous remarquer.
Nous agissons incognito, nous demeurons en coulisses.
Nous ne nous préoccupons pas de savoir à qui le mérite reviendra, mais simplement que le travail soit fait.
Parfois, nous nous remarquons mutuellement dans la rue, nous nous faisons discrètement signe et puis nous continuons notre chemin, de sorte que personne ne nous remarque.
Durant la journée, beaucoup de nous prétendent avoir un emploi normal, mais derrière la façade, c’est durant la nuit que le véritable travail a lieu.
Nous créons lentement un nouveau monde grâce au pouvoir de nos esprits et de nos cœurs.
Nous suivons avec passion et joie les ordres nous venant de l’Agence de renseignements spirituelle.
Nous lançons de douces et secrètes bombes d’amour lorsque personne ne nous regarde : des poèmes, des accolades, de la musique, des photos, des films, des mots gentils, des sourires, des méditations et des prières, de la danse, de l’activisme social, des sites web, des blogues, et des gestes de bonté spontanés.
Nous nous exprimons chacun à notre façon grâce à nos talents et nos dons uniques.
« Sois le changement que tu veux voir dans le monde », telle est la devise qui nous comble le cœur.
Nous savons que c’est le seul moyen de réaliser une véritable transformation.
Nous savons que, calmement et humblement, nous avons la puissance de tous les océans réunis.
Notre travail est lent et méticuleux, comme pour la formation des montagnes.
Cela ne se voit pas à première vue, et pourtant de cette manière des plaques tectoniques entières se déplaceront au cours des siècles à venir.
L’Amour est la nouvelle religion du 21e siècle.
Il n’est pas nécessaire d’être très instruit ou avoir des connaissances exceptionnelles pour le comprendre.
Cela émane de l’intelligence du cœur, faisant partie intégrante de l’éternelle pulsion d’évolution animant tous les êtres humains.
Sois le changement que tu veux voir dans le monde.
Personne d’autre ne peut le faire à ta place.
Nous recrutons maintenant.
Peut-être vas-tu te joindre à nous, ou peut-être l’as-tu déjà fait.
Tous sont les bienvenus.
La porte est grande ouverte. ❤
Brian Piergrossi.
Il existe en soi une force supérieure qui nous donne vie.
C’est cette intelligence vitale qui conçoit l’enfant dans le ventre de sa mère à partir d’une cellule primordiale.
 
Cette force multiplie les cellules et sait créer tout ce qu’il faut pour manifester la vie humaine.
 
C’est la même force d’énergie de vie qui sait créer un arbre, une fleur, un animal ou un une pierre.
 
Cette puissance, lorsqu’elle est libre, entraine la respiration, la circulation sanguine et énergétique, sait cicatriser une plaie, reconstruire une peau ou parfois un organe.
 
Nous avons donc en nous ce pouvoir de santé de la Source de pure énergie.
 
Si l’amour est le courant qui porte cette énergie, la peur en est un barrage puissant de même que la culpabilité, la frustration, la colère ou les regrets.
 
Quasiment toutes les maladies surviennent, lorsque la séparation entre l’ego et l’âme est forte.
 
Un ego qui en a marre de la vie, fatigué, énervé, déçu, qui n’a plus d’envie de vivre créée une déprime, une dépression ou même parfois une envie de suicide.
 
L’énergie de vie n’est plus alimentée correctement, le flux diminue et la fatigue s’en suit.
 
L’âme qui n’est plus alimentée par la joie de la vie ou sait qu’elle ne peut plus s’élever dans ce choix d’incarnation peut aussi faire le choix de se retirer de l’expérience de la matière.
 
Pour exemple, la peur de l’inconnu, agit souvent sur les reins et la vessie.
L’urine est la manière animale de marquer son territoire et de se sentir à sa juste place.
Aussi, quand la situation fait perdre sa place ou empêche de travailler, l’âme attend de l’ego une demande de clarification et d’adaptabilité.
Si le doute ou la colère bloque, alors la maladie peut se manifester.
 
Les regrets ou la culpabilité vont plutôt créer des cancers, situés dans l’organe le plus touché par le blocage d’énergie.
 
Le manque de clarté sur la vie actuelle peut agir aussi sur la vision qui est troublée par ce futur incertain.
 
Les poumons, organes de la joie de vivre peuvent aussi se bloquer.
Les ‘Je ne peux plus respirer librement, je ne peux plus sortir selon mon envie, je ne peux plus aller me distraire…’ entrainent des souffrances, de l’asthme et si le taux immunitaire est bas, le virus peut entrer facilement qu’il y ait protection ou non.
 
Inconsciemment ou non, nos pensées profondes bloquent l’énergie de vie ou la laisse passer à faible flux.
 
Depuis des années, la nourriture industrialisée est insipide et améliorée avec des exhausteurs de goût. Il est courant de lire sur des étiquettes ‘goût chocolat ou vanille, saveur fraise…’ alors que ce sont juste des molécules de synthèse. Du sucre raffiné ou du sel est ajouté systématiquement.
 
Autre exemple, les roses modernes ne sentent presque rien alors que des roses anciennes ont une odeur délicieuse, délicate ou soutenue.
 
Nos sens ne sont plus actionnés à leur juste pouvoir et pourtant, utiliser nos sens dans la matière est le cadeau de l’incarnation car l’esprit ne peut pas le faire dans le monde invisible.
 
Et alors, quels sont les effets secondaires de la covid ?
Une perte totale de gout et d’odorat.
 
Et si c’était pour nous rappeler l’importance de ces sens ?
Pour revenir à de vraies valeurs naturelles ? Pour bénir et remercier nos sens ?
 
La force de vie a besoin de la complicité de l’ego pour pouvoir se manifester au mieux.
 
Alors aidons-là, en respirant le plus possible et sans masque dès que c’est possible, dans un bois, un parc, un lieu sain, le bord de mer ou la montagne.
Retrouvons la joie de vivre même seul-e, en chantant, en dansant sur de la musique dynamique, en discutant avec des amis, en créant une œuvre…
 
Nourrissons notre corps physique de bons légumes de saison, de salades, de graines germées, et ajoutons de la vitamine C, D3 K2, du zinc et du magnésium.
Retrouvons les vraies odeurs avec des huiles essentielles ou des extraits de plantes, des tisanes, des jus frais.
 
Il y a tellement à donner de bon à notre corps pour vivre en santé !
 
Le meilleur vaccin est l’immunité naturelle, la joie de vivre et la paix intérieure.
 
C’est en alimentant au mieux nos corps que nous pouvons permettre à l’énergie de vie de circuler librement et de nous tenir en bonne santé.
 
Que le meilleur soit !
 
Joéliah
 
Lettre 517 du 5/2/21
D’autres textes qui vont du bien à l’âme ici :
Père Christian Cherel :
♥️? Vivre ??
“Depuis que le virus tue, on nous répète comme une leçon universelle que la vie est le bien le plus précieux et qu’il faut la protéger, quoi qu’il en coûte.
Quoi qu’il en coûte ?
Ce discours semble ne souffrir aucune contradiction ni tolérer la moindre nuance.
Et pourtant…
Comment ne pas voir que vivre ne consiste pas seulement à rester en vie ? D’où vient ce manque de profondeur, cette perte de perspective, cette cécité qui frappe notre monde ?
Comment avons-nous laissé se dégrader nos vies au point de les confondre avec notre seule survie ?
Survivre quoi qu’il en coûte ?
Mais quelle est donc cette vie pour laquelle nous serions prêts à consentir à tous les sacrifices ? Quelle est cette mort qui nous terrifie au point de lui livrer en pâture notre vie sociale, nos visages désormais masqués, nos anciens abandonnés dans leur solitude, nos embrassades interdites et jusqu’à nos mains qui ne peuvent plus se serrer ? Sommes-nous donc prêts à tout, y compris à cesser de vivre, pour ne pas mourir ? Cesser de vivre pour ne pas mourir… L’étrangeté de ces mots et l’absurdité vers laquelle ils nous précipitent !
Survivre quoi qu’il en coûte ?
Mais à l’évidence, il ne suffit pas de rester en vie pour être vivant. Et nous savons bien ce qu’est le naufrage d’une existence qui ne sait rien faire d’autre que s’agripper à elle-même.
Survivre quoi qu’il en coûte ?
L’erreur grossière consiste à penser que la vie serait un capital que nous aurions reçu au commencement et qu’il s’agirait de défendre contre toutes les attaques extérieures. Un capital voué inexorablement à fondre, au fil des ans, comme banquise au soleil. Car la mort surviendra tôt ou tard. Sommes-nous donc condamnés à vivre comme une armée battant en retraite ? Jusqu’à l’inévitable défaite… Est-ce cela vivre ?
Survivre quoi qu’il en coûte ?
Bien sûr, il nous faut lutter contre ce virus et protéger notre santé comme on protège la banquise de son effondrement. Mais protéger la vie, c’est autre chose ! La vie n’est pas un capital à défendre mais un horizon à atteindre. Elle n’est pas une bouée à laquelle on s’agrippe mais un trésor qu’il nous faut trouver. Vivant, il ne s’agit pas de le rester mais plutôt de le devenir ! Et nous ne sommes encore qu’imparfaitement vivants. Bien souvent, nous vivons dans le seul but de ne pas mourir. Ce n’est pas cela vivre…
Mais vivre !
Et tenir la main du vieillard jusqu’à son dernier souffle ; sentir que ces minutes-là sont plus précieuses que la plus scientifique des immunités. Vivre et ne pas concéder le moindre compromis quand il s’agit de rester humains. Jusqu’au bout. Quoi qu’il en coûte…
Vivre !
Et ne pas se plier aux menaces des violents. Savoir que la mort est toujours un risque mais qu’il y a plus grave que mourir : c’est de ne pas oser vivre. Vivre et ne pas avoir peur de risquer sa vie. Quoi qu’il en coûte…
Vivre !
Et ne plus savoir compter, calculer, mesurer, comparer, produire ; mais apprendre à s’émerveiller, chanter, offrir, jouer, contempler. Donner plus d’importance à ce qui ne sert à rien : au jeu de l’enfant, au silence dans le vent du soir et aux fleurs qui ne savent même pas qu’elles sont belles. Quoi qu’il en coûte…
Vivre !
Et accueillir notre fragilité comme une chance. En avoir fini avec l’angoisse de ne pas être tout, de ne pas pouvoir tout. Ne plus avoir à se prouver que l’on mérite de vivre. Ne plus avoir à mériter. Mais vivre simplement. Quoi qu’il en coûte…
Vivre !
Et ne plus regarder le temps qui passe comme l’horloge implacable qui m’attend ou le sablier qui dévide mes heures. Mais accueillir le temps comme un ami qui joue dans mon camp. Et qui me bonifie comme les années rendent bon le vieux vin. Vivre et ne plus avoir peur de vieillir, de se rider, de se courber et de faiblir. Quoi qu’il en coûte…
C’est cela vivre.
C’est cette vie-là qu’il nous faut défendre, quoi qu’il en coûte. Quitte à en mourir…
Mourir sans doute, mais mourir vivants !”?
Père Christian Cherel
Image par Gerd Altmann de Pixabay
Corrie ten Boom :
c’est dans une église de Munich que je l’ai vu.
Nous étions en 1947.
J’étais venue de Hollande dans une Allemagne vaincue, apporter le message de pardon de Dieu.
« Quand nous confessons nos péchés, avais-je dit, Dieu les jette au plus profond de l’océan, où ils disparaissent pour toujours ! »
Je l’ai vu, chauve et trapu, vêtu d’un manteau gris et serrant un feutre beige entre ses doigts, il se frayait un chemin vers moi à travers la foule.
Je venais de terminer une réunion et les gens s’acheminaient lentement vers la sortie entre les rangs de chaises et le long des allées.
Les gens se levaient en silence.
En silence, ils prenaient leurs manteaux.
En silence, ils quittaient la salle…
C’est alors que j’aperçus l’homme qui marchait à contre-courant.
Tout d’abord, je vis le manteau gris et le chapeau beige, et puis, soudain… l’uniforme vert et le képi à visière portant une tête de mort…
Alors, tout me revient à l’esprit en l’espace d’un éclair : ce hall immense, ces lumières crues, ce pitoyable tas de vêtements et de chaussures amassés au centre de la pièce…
La honte de devoir passer nue devant un homme !
Je voyais la frêle silhouette de ma sœur, juste devant moi, ses côtes saillantes sous la peau transparentes.
Betsie et moi avions été arrêtées pour avoir caché des juifs chez nous pendant l’occupation nazie, et l’homme qui se trouvait maintenant en face de moi était l’un des gardiens de cet affreux camp de Ravensbrück.
Il me tendait la main…
– Vous avez donné un excellent message, mademoiselle, me dit-il. Qu’il est bon de savoir, comme vous l’avez si bien exprimé, que nos péchés sont au fond de la mer !
Et moi qui venais de parler de façon si désinvolte du pardon, je me mis à consulter nerveusement mon agenda, plutôt que de prendre cette main qui se présentait.
Celui qui me la tendait ne se souvenait plus de moi, bien sûr. Cependant, je le reconnaissais ! Je me souvenais même de la lanière de cuir qui se balançait, accrochée à sa ceinture…
– Vous avez mentionné Ravensbrück, reprit-il. J’ai été gardien là-bas… mais depuis ce temps-là, je suis devenu chrétien. Je sais que Dieu m’a pardonné les cruautés que j’ai commises. Mais j’aimerais l’entendre de vos propres lèvres, Mademoiselle.
Voulez-vous me pardonner ?
La main se tendait à nouveau vers moi.
Immobile, je me tenais là, debout, figée, sans un geste, sans une parole.
Je ne pouvais pas prendre cette main, moi qui, pourtant, avais besoin tous les jours du pardon de Dieu !
Non, c’était impossible. Betsie était morte dans ce camp.
Pouvait-il effacer, par une simple démarche, sa lente et terrible agonie ? J’étais face à cet homme, paralysée, le cœur serré dans un étau de glace.
Mais le pardon n’est pas une affaire de sentiment, cela je la savais aussi.
Le pardon, c’est un acte de volonté.
Et la volonté peut fonctionner quelle que soit la température du cœur.
En silence, j’appelai le Seigneur: «Seigneur Jésus, secoure-moi !
Je peux sortir ma main, mais toi, supplée au reste !».
Alors, d’un geste mécanique, comme si j’avais été de bois, je mis ma main dans celle qui m’était tendue.
Et, au moment où je faisais ce geste, il se passa quelque chose d’extraordinaire, car je lui dis : « Je vous pardonne, mon frère, je vous pardonne de tout mon cœur».
Nous sommes restés un long moment ainsi, ma main dans la sienne, moi l’ancienne prisonnière, lui l’ancien gardien de Ravensbrück.
Jamais dans ma vie je n’ai connu l’amour de Dieu d’une façon aussi intense qu’en cet instant-là !
(Cornelia Johanna Arnalda ten Boom), 1892 -1983.
Écrivaine chrétienne néerlandaise qui a aidé de nombreux Juifs à échapper aux nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale.
**********
Puisse la puissance d’amour du Christ vous aider à pardonner afin de vivre véritablement en paix.
Cette pandémie aura pour mérite de permettre à beaucoup de réfléchir sur leur mode de vie, sur l’importance de la Vie, de la liberté, des rencontres, de la famille et des amis.
 
Elle permet aussi d’observer tous les excès qu’il y avait dans les achats, les ‘non essentiels’ ou ‘essentiels’ qui ne sont pas toujours ceux que décide le gouvernement.
 
Dépenser moins spontanément et choisir mieux, de manière plus réfléchie est aussi une autre ouverture de conscience.
 
Réapprendre à vivre ensemble ou au contraire à vivre seul face à face avec soi-même, avec “soi m’aime” ou pas. Une épreuve ou/et un cadeau d’évolution.
 
Il est certain, que l’avant 2020 est fini et qu’il est inutile d’attendre à revenir au même niveau de vie. Tout aura un goût différent.
 
Le plaisir de se retrouver sera apprécié différemment et peut-être que certains redonneront de la valeur à ce qu’ils croyaient naturel et illimité et donc parfois dénigré.
 
Beaucoup de personnes se sont ouvert à la spiritualité vivante, au respect des valeurs et à la dignité humaine.
 
Ma page Facebook, https://www.facebook.com/alasourcedubonheur ouverte sur le bonheur et le bien-être que procure la connexion à la Source ‘divine’ depuis 7 ans, connait un succès grandissant depuis le début de la 1ère pandémie.
 
Il y a presque 12000 personnes à l’avoir rejoint en un an et j’en suis honorée et heureuse.
 
Cela prouve qu’elle répond à un besoin de paix, de joie, d’honnêteté simple et ludique et surtout d’alignement avec la Source et les merveilles de la vie.
 
Redonner sa noblesse à l’humain est le challenge actuel tout comme retrouver sa dignité, sa souveraineté et son pouvoir d’esprit puissant.
 
Nous sommes tous des consciences, une force éternelle issue de la source infinie de toutes choses. Elle fait partie de l’univers et nous baignons dans cet univers.
 
Nous sommes tous UN au sein de cet univers, séparés par la forme, par l’ego, la personnalité que nous avons choisie d’exprimer.
 
Au-delà des rôles que nous jouons, il y a la puissance divine du ‘JE SUIS’ qui nous relie. Nous sommes tous des JE SUIS.
 
Nous faisons partie du même royaume et l’amour est notre lien.
 
Alors chacun doit commencer par se valoriser en tant qu’enfant de la source, que fille ou fils du divin, de l’Esprit saint.
 
C’est en actionnant l’amour en soi d’abord, l’amour christique du royaume, que nous pouvons alors aimer ce qui est dans la paix et le respect.
 
Alors merci à cette expérience qui, même si elle parait destructrice, est un cadeau pour tous ceux qui sauront y trouver le trésor de l’amour.
 
Que le meilleur soit !
Joéliah
Nous sommes fait d’énergie et semeurs d’énergie par nos pensées, actions et émotions.
Tout dans l’univers est cyclique.
Tout tourne autour d’un noyau central sur des périodes plus ou moins courtes.
Il y a toujours un noyau central qui sert de cœur à l’ellipse.
Les planètes tournent autour du soleil et reviennent régulièrement au même endroit. De même toutes les actions que nous menons en tant que semeurs d’énergie, sont envoyés dans l’espace et nous reviennent un jour.
Notre amour/cœur est l’axe central.
Ce que ce que l’on sème, en pensées, en paroles et en actions, nous revient un jour et souvent de manière amplifiée.
Surveiller ses pensées est une habitude à prendre car nous en avons des milliers par jour !
Elles sont souvent inconscientes, c’est à dire hors de notre champ de contrôle.
Souvent, nous construisons de véritables films intérieurs sur des sujets plus ou moins intéressants et nous partons en ‘errance mentale’.
Le problème, est que notre esprit ne comprend pas la différence entre ce qui est inconscient et conscient.
Il reçoit des informations et agit en conséquence en fonction du ressenti.
C’est l’émotion qui fait l’appel de la création.
Nous pouvons être des semeurs de pensées négatives… et alors, l’Univers entend cela comme une demande et, en bon serviteur, cherche à nous servir. Notre récolte est donc correcte vis à vis des graines semées de même si nous sommes des semeurs de positif !
Il est important de devenir de plus en plus conscients de nos comportements intérieurs et extérieurs.
Apprendre à s’observer devient de plus en plus indispensable pour pouvoir corriger rapidement.
Une très bonne habitude à prendre est celle de parler régulièrement à haute voix.
Ainsi, nous pouvons surveiller ce qui est diffusé et y ajouter de l’émotion de joie et d’amour.
Le fait de parler à l’univers comme à un ami, un parent, un confident et de lui demander toujours le meilleur, apporte une grande transformation positive dans sa vie.
Aussi, il est important de le remercier pour ce meilleur qui arrive en tout temps, tous lieux et tous moments.
Notre mission en tant qu’adultes conscients de notre identité spirituelle : devenir des semeurs de bonheur et du meilleur de soi.
Comme tout nous revient amplifié ; donner et distribuer le meilleur de nous-mêmes aux autres ou à la vie, nous revient automatiquement.
Donc, prendre l’habitude de faire de son mieux, de donner toujours un peu plus ou encore d’être généreux, nous revient automatiquement au moment le plus juste.
Sortir du mental pour entrer dans la voie du cœur, voilà le plus beau cadeau à se faire !
Pour terminer : restez centrés autour de votre soleil-coeur et que le bonheur soit !
Joéliah
Image par Th G de Pixabay