Le 'Happy end' de notre conte de fée, à vivre maintenant.
Et si nous vivions un conte de fée sans le savoir ? Combien de petites filles ont rêvé d’être à la place de belles princesses telle Cendrillon, la Belle au Bois dormant ou Blanche Neige ? Combien de petits garçons celui d’être le beau prince charmant ? Bien qu’aujourd’hui, la tentation d’être le grand méchant semble plus activée et plus à la mode.
Vivre le bonheur maintenant, c’est assez facile à dire et à imaginer. C’est un peu comme dans les contes merveilleux mais seulement à la fin. Lorsque les héros se retrouvent amoureux et promis à un futur magnifique, mariés avec leurs nombreux enfants à venir.
Car dès le « ll était une fois » et pendant quasiment tous les contes, les héros vivent de grandes difficultés pour arriver à recevoir ce meilleur à la fin. On y trouve toutes les grandes blessures de l’âme : l’abandon, le rejet ou la trahison, l’humiliation, l’injustice et aussi la non reconnaissance. Ajoutez l’asservissement, les coups, les châtiments ou les punitions. Les méchant(e)s sont prêt(e)s à détruire leurs si parfaits ennemis pour avoir et garder le beau rôle.
Il est nécessaire à tous ces héros de traverser toutes ces horribles épreuves pour que la morale soit enfin sauve et que le ‘happy end’ s’écrive.
Contrairement à ces princes et princesses qui attendent cette fin heureuse, nous vivons notre conte de vie en râlant sur les épreuves, en voulant les éviter et en les combattant. Alors, nous mélangeons tout et prenons parfois le rôle des méchant(e)s et le bonheur ne se manifeste pas.
La loi cosmique de résonance veut que pour vivre heureux, il est nécessaire de vibrer sur la fréquence du bonheur afin de l’attirer. Toutes ces princesses ont le point commun de rêver à leur Prince charmant. Et les Princes d’être à la recherche de la Princesse qui saura les rendre heureux, quitte à aller à l’autre bout du royaume pour cela ou dans des contrées lointaines… ils agissent.
La création de sa vie heureuse demande la mise en action de règles précises telle celle de la loi d’attraction par résonance.
La plupart de ces princesses sont représentées comme pures, gentilles et optimistes; Elles aiment la nature et s’y réfugient pour prendre des forces. Il est rare d’en trouver une en colère contre sa méchante belle-mère ou dépressive et se contentant d’être victime. Tout du moins dans les anciens contes.
Les contes recèlent beaucoup d’enseignements d’état de conscience à développer pour trouver cette force et la mettre en action pour trouver le bonheur. Tout est question d’écho vibratoire.
Avoir une attitude de plaignants, de critiquant constant ou autre énergie d’épuisement coupe l’attraction du bonheur. Comme l’univers n’aime pas le vide, il compense aussitôt sur la même fréquence et attire des événements, circonstances ou personnes qui viennent nourrir ces plaintes et critiques.
La souffrance attire la souffrance. C’est une loi.
Le bonheur attire le bonheur, c’est la même loi d’attraction synergique.
Le rêve éveillé de vibration élevée est une bonne formule pour apprendre à créer son monde tel qu’on le souhaite.
Une technique consiste à projeter ses idées dans son lobe cérébral frontal, derrière le front et à se laisser vivre dans ces projets. Ils peuvent paraître parfois utopiques sur l’instant. Puis à vibrer à la fréquence de ce projet et imaginer le vivre comme si c’était déjà là. Surtout en ayant une grande joie au cœur et la satisfaction d’avoir réussi et de profiter de cette réalisation.
‘Demandez et vous obtiendrez’. L’Esprit enregistre cette information et commence à mettre la force de création en action.
En répétant ces rêves conscients plusieurs fois de suite. En verbalisant sa vie et en vibrant sur la réjouissance d’avoir obtenu, notre esprit créatif attire les particules nécessaires pour que cette création se matérialise.
Si l’on continue de « rêver » cette possibilité. Si l’on se concentre sur cette création et que l’on fait tout ce qu’il faut dans la vie pour l’avoir, alors elle se manifeste. Dès lors que notre subconscient ne donne pas d’ordre de destruction ou d’obstruction et c’est là que le bât blesse !
Imaginez qu’une personne qui peut s’appeler ‘vous’, désire acquérir une très belle voiture de luxe… c’est son / votre rêve.
C’est faisable puisque de nombreuses personnes en ont sur cette planète et que ces voitures existent.
(Elle ou) vous ‘rêvez’ éveillé que vous conduisez cette merveille. Vous imaginez sa carrosserie, son intérieur luxueux. Alors, vous entendez et sentez sa puissance qui vibre sous le capot. Vous la sortez du garage et roulez en toute confiance.
Vous vous sentez très bien… et en plus vous affirmez, ‘merci à la vie de me donner cette voiture de luxe’, ‘je suis riche propriétaire de ‘ma’ voiture de luxe et j’en suis très heureux(se)’. Vous êtes radieux de bonheur à l’idée de conduire cette voiture…. alors 99% du travail est en train de se faire.
L’ esprit est en train d’attirer cette voiture dans votre vie. Maintenez la fréquence de joie et comme le prince charmant, elle arrivera au bon moment. Comme dans Cendrillon votre vieille citrouille se transformera en carrosse par la magie de l’amour et de la foi et le besoin vital d’aller faire une belle action.
Mais combien sont déjà entrés dans un tel rêve ?
Combien bloquent même la simple idée de ce rêve appartenant à un inconnu ?
Parce qu’à ce niveau de vie de conte de fée, tous les méchants saboteurs intérieurs sont déjà intervenus et sont à l’œuvre, du genre :
– Déjà que je n’arrive pas à payer une voiture d’occasion !
– Je me contente de peu, je n’ai pas besoin d’une telle voiture !
– Pour avoir une voiture de riche, il faut être riche…
– Bonjour le prix de l’essence, et la prime d’assurance !
– ça va tenter les voleurs ou ça va faire des jaloux chez les voisins, c’est sûr.
– Pourquoi avoir une voiture qui consomme beaucoup en ce temps de pénurie…
– ça pollue la planète…
– Ils feraient mieux de donner l’argent de ces voitures aux pauvres.
– Je ne mérite pas… et bla bla bla et bla bla bla intérieur de tout plein de croyances qui empêchent déjà cette création !
Il est certain que dès les premières pensées, les particules du joli carrosse sont parties bien loin. Attirées vers une autre personne qui les aimeront sous cette luxueuse forme sans aucun blocage de pensées.
Et il ne reste que la citrouille pour se déplacer… le conte de fée a besoin de fées ou de génies pour s’appeler ainsi !
Dans la vie, il n’est possible de créer que ce que notre esprit est capable d’accepter. Tout est une question de travail intérieur et de motivation. Nul ne peut travailler ni créer à notre place.
Pas de bonne ou de méchante fée qui vienne tout changer dans notre vie, à part notre fée intérieure, notre génie, la puissance de notre esprit.
Nous sommes le conte en entier !
C’est en cela qu’il est nécessaire d’acquérir la maîtrise de ses pensées, de ses émotions et de ses actes pour devenir un créateur précis et écrire à chaque instant présent le conte de notre vie.
Construisons notre rêve dans la matière et nos cellules. Pour commencer, arrêtons de nous croire pauvres et ouvrons notre conscience au royaume intérieur illimité de notre nature. Nous sommes tous des princes ou princesses de la Vie.
Aimons-nous, aimons cette vie et l’abondance qu’elle nous donne et écrivons ce bonheur d’Être. Aujourd’hui, à ce moment précis, et qu’il reste actif toute notre vie. Et tant pis s’il n’y a pas de prince ou de princesse qui arrivent, il y a tant de beaux êtres nobles de cœur autour de nous !
Les bons contes ne font-ils pas les bons z’ami(e) s ?
Joeliah/ https://www.quelemeilleursoit.com