Le soleil rayonnant de l’amour inconditionnel.
Un peu de grisaille dans le ciel du jour n’empêche pas le bleu pur de la joie de rayonner dans le coeur. Comme je l’ai lu avec plaisir chez mon amie Marie-France : ce n’est pas parce que tu n’es pas un soleil que tu dois être un nuage.
Il est toujours possible de choisir d’être heureux quoi qu’il arrive, tout est question de vibration, de choix de pensées et d’émotions.
On peut se lamenter des heures sur une expérience, voire des années et ce jusqu’à la mort ou alors faire le choix de libérer cette mémoire et de se recréer un nouveau départ à tout moment.
Une personne qui tombe de cheval doit vite remonter en selle pour dépasser cette erreur d’équilibre et imprimer dans son esprit qu’elle veut réussir à tenir sur le cheval et ce, même si elle s’est faite très mal.
Il est important d’être brave et courageux pour recommencer jusqu’à ce que ce soit bien imprimé dans le cerveau et que les circuits neuronaux du cavalier soit installés définitivement.
Idem pour réussir à faire du vélo naturellement, sans regarder les pédales ou conduire une voiture.
Une fois que le pilote automatique est créé dans le cerveau, tout se fait quasiment instinctivement.
Mais certaines ne le font pas et développent une peur démesurée des chevaux et installent un circuit neuronal qui s’épaissit au fur et à mesure qu’elles pensent à la chute ou à la douleur qui en a suivi et au ‘monstre’ qui la provoquée sans penser que c’est leur déséquilibre qui est la cause de cette chute. Idem si un incident est arrivé lors de l’apprentissage de la conduite. Combien de ‘J’ai failli avoir un accident’ entrainent un ‘je ne conduis plus’ ?
Combien de ‘J’ai été frappé par un parent’ entrainent un ‘Je dois souffrir toute ma vie, je suis incapable ou encore je suis révolté(e) ?
Combien de ‘Je n’ai pas apprécié ce spectacle’ entrainent un ‘je n’irai plus jamais au spectacle’…
Combien de ‘J’ai été trompé(e)’ entrainent des ‘je ne peux plus jamais faire confiance à quelqu’un’ ?…
Et ainsi de suite. La fréquence des répétitions de la souffrance ou de la déception, créé des ‘autoroutes’ neuronales et ainsi, dès que la matrice de ce choix de pensées se met en marche, le petit train de la souffrance suit et entrainent dans le corps, une manifestation chimique qui amplifie le mal-être.
Bonne nouvelle ! On peut fermer un circuit et en ouvrir un autre par une autre forme de répétition (ou un choc mais c’est moins contrôlable).
Il est vraiment important de libérer ses nuages, de changer de route de pensées, de se recréer une autre histoire beaucoup plus sympa par amour pour soi, pour la vie et pour la Source qui nous donne vie.
Accepter d’avoir eu un programme qui a attiré cela, de se pardonner et de libérer l’autre, de comprendre que les autres personnes puissent aussi évoluer, changer, s’améliorer…
C’est la base de la tolérance et de l’amour.
Oser se remettre en questions ‘qu’est-ce qui, en moi, fait que j’ai vécu cela de cette façon là ?’ et ‘Qu’est-ce que je peux améliorer pour aller mieux ?’
Et ensuite, penser différemment, annuler dès que la mémoire se réveille et lui imprimer autre chose rapidement. Répéter son nouveau choix et vibrer sur une fréquence supérieure. Rester ferme sur sa nouvelle décision ‘Je choisis d’aller mieux parce que je m’aime et j’ai envie de vivre plus libre et que je suis maitre de mes choix’.
Cela demande courage, persévérance et foi dans le fait que tout est possible, que le nuage peut s’étirer et s’effacer et laisser place au soleil brillant de l’amour rayonnant. Il faut parfois de la durée, parfois un bon coup de vent et tout change.
Chacun vit ses choix, ses désirs et tout est juste, mais certains choix sont plus faciles à vivre que d’autres.
Puisse le soleil de l’amour inconditionnel briller dans tous les coeurs.
Soleil ou nuage ? Que le meilleur soit selon vos choix !
Joéliah